Voir la présentation faite dans DIAL D 2478. Je suis né à Puerto Lempira, grâce à Dieu. J’ai quitté la maison à 6 ans et demi.
Il y a diverses raisons à mon départ, l’une d’entre elles est que je n’ai pas été élevé par ma maman mais par ma grand-mère. J’avais 42 jours lorsque ma maman est partie pour les U.S.A. et 6 ans lorsqu’elle est revenue. Quand elle est revenue j’étais à l’école primaire au cours préparatoire. Comme j’étais le plus jeune et que mes frères étaient plus grands, je (…)
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enfance / infancia
Artículos
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DIAL 2479
HONDURAS - Des enfants et adolescents de la rue racontent leurs viesII - Hiran, 17 ans
15 juin 2001, mis en ligne par Dial -
DIAL 2478
HONDURAS - Des enfants et adolescents de la rue racontent leurs viesI - Hector, 13 ans
15 juin 2001, mis en ligne par DialLes histoires de vie que nous publions dans les trois dossiers qui suivent (DIAL D 2478, 2479, 2480) ont été écrites par des enfants et des adolescents du programme Casa Alianza du Honduras.
Casa Alianza est une organisation indépendante sans but lucratif, consacrée à la réhabilitation et à la défense des enfants de la rue au Guatemala, Honduras, Mexique et Nicaragua. Branche latino-américaine de Covenant House (New York), Casa Alianza soutient et prend soin d’environ 9 000 enfants de la (…) -
DIAL 2473
ARGENTINE - l’échec scolaire des pauvresAlexis Oliva
15 mai 2001, mis en ligne par DialIl y a une corrélation évidente entre pauvreté et abandon de l’école par des enfants et adolescents de familles vivant en Argentine en situation de vulnérabilité sociale. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par la « Consultation Equis » en diverses régions du pays. Cette enquête a mis en lumière l’existence de facteurs de discrimination des plus pauvres, aussi bien à l’intérieur du système éducatif qu’à l’extérieur. Dans la brève présentation faite ci-dessous, la parole est largement (…)
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DIAL 2458
EL SALVADOR - Retrouver les enfants disparus : une recherche juste et nécessaire 1er avril 2001, mis en ligne par DialFace à certains propos dubitatifs, une association salvadorienne, Pro-Búsqueda (cf DIAL D 2411), regroupant des familles d’enfants disparus pendant la guerre (1979-1992) explique ici les diverses raisons pour lesquelles il est nécessaire de continuer les recherches permettant de localiser les enfants disparus. Texte paru dans En Búsqueda, novembre 2000, San Salvador (El Salvador) « Il n’y a pas de soulagement à ma douleur, mon coeur défaille. Pourquoi ma douleur est-elle sans fin ? » Jr 8,18 (…)
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DIAL 2425
AMÉRIQUE LATINE - rompre les chaînes de l’esclavageJohn Ludwick
1er décembre 2000, mis en ligne par DialDes personnes - hommes, femmes et enfants - vivent aujourd’hui dans une situation d’esclavage, c’est-à-dire ont un mode de vie déterminé par le fait que s’exerce sur eux « l’un ou la totalité des pouvoirs découlant du droit de propriété ». Brésil, Paraguay et République dominicaine sont les principaux pays dont il est ici parlé, mais le fléau est répandu dans bien d’autres pays d’Amérique latine et des Caraïbes, comme en d’autres régions du monde. Article de John Ludwick (Lima), Noticias (…)
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DIAL 2411
EL SALVADOR - Les retrouvailles, « c’est comme après un accouchement ». Magaly, enfant disparue pendant la guerre, retrouve sa famille biologique. Sa mère adoptive témoigne. 16 octobre 2000, mis en ligne par DialPendant la guerre civile qui a sévi en El Salvador de 1980 à 1992 et qui a fait quelque 80 000 morts, plusieurs centaines d’enfants ont disparu. En avril 2000, l’association Pro-Búsqueda avait enregistré 545 cas d’enfants disparus. Sur ce total, 170 jeunes avaient été localisés, et sur les 70 résidant à l’étranger, 37 avaient eu un contact avec leur famille d’origine par lettre ou téléphone. En 1999, l’association prit connaissance de 43 nouveaux cas d’enfants disparus, ce qui montre qu’il y (…)
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DIAL 2370
AMÉRIQUE LATINE - Enfants en danger. Les risques encourus, les combats nécessairesJohn Ludwick
1er avril 2000, mis en ligne par DialArticle de John Ludwick, paru dans Noticias Aliadas, 28 juin 1999, Pérou (voir aussi les autres articles sur les enfants dans les dossiers : DIAL D 2365, 2366, 2367, 2368 et 2369). On pensait que les graines du développement semées pendant la décennie précédente serviraient à assurer une enfance sûre, heureuse et saine aux garçons et aux filles d’Amérique latine et des Caraïbes. Mais cela ne s’est pas passé ainsi.
Les gouvernements nationaux et l’ONU ont essayé d’améliorer la vie des (…) -
DIAL 2369
COLOMBIE - L’avenir incertain des enfants combattants de guerreYadira Ferrer
1er avril 2000, mis en ligne par DialArticle de Yadira Ferrer, en provenance de IPS, février 2000 (voir aussi les autres dossiers sur les enfants : DIAL D 2365, 2366, 2367, 2368 et 2370). Santafé de Bogota. « Carlos » n’a pas passé son anniversaire, le 3 janvier, avec ses sœurs et sa mère à El Castillo, au sud-est de la Colombie ; il l’a fêté à la capitale, avec ses nouveaux amis du programme de protection pour les mineurs désengagés des groupes armés de l’opposition. « J’ai eu seize ans et on m’a offert un gâteau (…)
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DIAL 2368
ARGENTINE - Un foyer de gamins jamais tranquillesBettina Marengo
1er avril 2000, mis en ligne par DialVisite d’un foyer d’enfants de Córdoba, rapportée par Bettina Marengo dans Desafios Urbanos, juillet-août 1999, Córdoba, (voir aussi les autres dossiers sur les enfants : DIAL D 2365, 2366, 2367, 2369 et 2370). À 1 200 m du centre de Córdoba, dans le quartier de l’Observatoire, fonctionne un foyer pour enfants délinquants ou en passe de le devenir. Il est dirigé par Francisco Ferreyra, qui va lui-même les chercher aux lisières de la ville et parie que les jeunes placés sous sa garde par la (…)
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DIAL 2367
ARGENTINE - Chronique d’un enfant livré à lui-même 1er avril 2000, mis en ligne par DialInterview d’un enfant travailleur de la rue en Argentine, parue dans Desafios Urbanos, juillet-août 1999, Córdoba (voir aussi les autres dossiers : DIAL D 2365, 2366, 2368 ; 2369 et 2370). Il s’appelle Xavier, paraît plus jeune que son âge réel et vit à Villa El Libertador. Cheveux noirs frisés, yeux vifs, il porte un pull-over rouge passablement décoloré et un petit sac à dos. Il n’a jamais été incarcéré et peut-être n’a-t-il jamais utilisé une arme. Mais il s’avance sur les marges et, par (…)