De nombreux dossiers ont déjà été publiés par DIAL sur l’implantation des maquilas, ces filiales de multinationales localisées en zone franche et jouissant de nombreuses exonérations, situées essentiellement sur la frontière nord du Mexique et en Amérique centrale. À partir d’un cas nicaraguayen, l’article ci-dessous permet de bien comprendre le fonctionnement de ces entreprises, les effets produits tant sur la vie des personnes qu’à un plan économique plus global. Il procède également à (...)
Portada del sitio > Palabras clave > thèmes / temas > maquilas
maquilas
Artículos
-
DIAL 2696
NICARAGUA - L’implantation d’une multinationale en zone francheJon Ander Bilbao
1er janvier 2004, mis en ligne par Dial -
DIAL 2608
NICARAGUA - L’univers concentrationnaire des entreprises situées en zone franche, voyage au coeur d’une « maquila » 1er janvier 2003, mis en ligne par DialDe nombreuses fois, DIAL a présenté à ses lecteurs la situation créée par l’implantation, principalement au Mexique et en Amérique centrale, d’entreprises de sous-traitance appelées maquilas ou maquiladoras, filiales de grandes entreprises étrangères, situées dans des zones franches oú elles jouissent de nombreux avantages - voir DIAL D 2048 (Guatemala), D 2191 et D 2385 (Honduras), D 2163 (Nicaragua), D 2386 (El Salvador) D 2387 (Mexique). Le reportage ci-dessous, réalisé pendant douze (...)
-
DIAL 2560
GUATEMALA - La création d’un syndicat dans une « maquila » 16 mai 2002, mis en ligne par DialLe Guatemala connaît une forte implantation de maquilas, ces entreprises de sous-traitance, filiales de multinationales en quête d’une main-d’oeuvre bon marché dans les pays d’Amérique centrale (cf. Dial D 2385, 2386, 2387, 2516, 2517, 2518). La création de syndicats y est extrêmement difficile, souvent impossible. La solidarité internationale peut cependant jouer un rôle indispensable pour aider à la formation d’un syndicat, comme le montre l’exemple ci-dessous raconté dans un article (...)
-
DIAL 2518
AMÉRIQUE CENTRALE - Filiales de multinationales en Amérique latine : les maquilas. III.- On recherche femmes sans expérience syndicaleEduardo Tamayo
1er décembre 2001, mis en ligne par DialVoir introduction DIAL D 2516. Ci-dessous, article d’Eduardo Tamayo, América Latina en Movimiento/ALAI, 13 décembre 2000. Les maquilas, qui se sont répandues en Amérique latine dans les années 90 sous le couvert de la globalisation, agissent généralement en marge des législations nationales et des conventions internationales sur le droit du travail.
La majorité de la force de travail dans les maquilas est composée de femmes. Au Mexique, en 1996, 58 % du personnel non spécialisé était (...) -
DIAL 2517
MEXIQUE - Filiales de multinationales : les maquilas. II.- Des travailleurs s’expriment 1er décembre 2001, mis en ligne par DialVoir introduction DIAL D 2516. Ci-dessous, un texte provenant d’un travail effectué par la Pastorale de la jeunesse ouvrière de Matamoros, Tamaulipas (Mexique), et publié dans son bulletin d’information de novembre 2000. L’industrie de sous-traitance, ou maquila, s’est implantée à Matamoros, [dans l’État de Tamaulipas au nord du Mexique] à la fin des années 60, principalement l’électronique qui emploie en majorité des femmes dans ses secteurs de production. Avec l’entrée en vigueur du (...)
-
DIAL 2516
AMÉRIQUE LATINE - Filiales de multinationales : les maquilas. I.- l’implantation des entreprises de sous-traitanceEduardo Tamayo
1er décembre 2001, mis en ligne par DialDIAL consacre trois dossiers successifs (D 2516, D 2517 et D 2518) aux maquilas, ces entreprises de sous-traitance implantées en Amérique latine, surtout au Mexique et en Amérique centrale, par des entreprises transnationales d’origine nord-américaine, asiatique ou européenne. Selon certaines estimations, il y aurait plus de 500 000 personnes travaillant dans des maquilas, l’immense majorité étant composée de femmes. Le faible coût de la main-d’œuvre, les exonérations diverses accordées (...)