A 31 años de búsqueda de nuestro padre, Víctor Díaz López, recién empezamos a conocer la verdad, esa verdad que, como siempre hemos dicho, por dolorosa que ella sea hay que enfrentarla, es la única manera de empezar a vivir el duelo que sólo con la justicia verdadera podría quizás cerrarse. Y en realidad es muy terrible saber de los meses de horror que vivió en manos de sus torturadores, todos miembros de las fuerzas armadas de Chile y la forma cruel, inhumana y cobarde de como fue (…)
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Artículos
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CHILE - La dolorosa verdad frente a la cobardía extrema
Viviana Díaz Caro y Victoria Díaz Caro
26 de febrero de 2007, puesto en línea por Dial -
DIAL 2510
CHILI - Dans le rapport faisant suite à la Table de dialogue. En dépit de ses engagements, l’armée a fourni sur les disparus des renseignements parfois inexacts et contradictoiresElizabeth Lira
1er novembre 2001, mis en ligne par DialDans un accord signé le 13 juin 2000, les forces armées avaient reconnu leur responsabilité dans la violation des droits de l’homme sous la dictature du général Augusto Pinochet (1973-1990) et s’étaient engagées à fournir toute information disponible concernant les disparus. Le rapport faisant suite à cet accord ne répond pas réellement à l’engagement pris par les forces armées du fait qu’il contient de fausses informations sur le sort de certains disparus. La crédibilité du rapport est donc (…)
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DIAL 2484
URUGUAY - Sara Méndez : « Je veux en finir avec la recherche interminable de mon fils. »Sara Méndez
1er juillet 2001, mis en ligne par DialSara Méndez, uruguayenne, est toujours à la recherche de son fils depuis qu’il lui a été enlevé en Argentine en juillet 1976, alors qu’il n’avait que vingt jours. C’était au temps des dictatures qui sévissaient en Argentine et Uruguay. Depuis, elle ne cesse de poursuivre ses recherches, malgré tous les obstacles qu’elle rencontre. Ci-dessous, le texte de Sara Méndez appelant à la solidarité internationale, daté du 10 février 2001 à Montevideo, suivi d’un bref rappel historique.
Source : (…) -
DIAL 2458
EL SALVADOR - Retrouver les enfants disparus : une recherche juste et nécessaire 1er avril 2001, mis en ligne par DialFace à certains propos dubitatifs, une association salvadorienne, Pro-Búsqueda (cf DIAL D 2411), regroupant des familles d’enfants disparus pendant la guerre (1979-1992) explique ici les diverses raisons pour lesquelles il est nécessaire de continuer les recherches permettant de localiser les enfants disparus. Texte paru dans En Búsqueda, novembre 2000, San Salvador (El Salvador) « Il n’y a pas de soulagement à ma douleur, mon coeur défaille. Pourquoi ma douleur est-elle sans fin ? » Jr 8,18 (…)
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DIAL 2443
PÉROU - Près de 7 000 dénonciations pour disparition forcéeGino Costa Santolalla
16 janvier 2001, mis en ligne par DialLe Bureau du défenseur du peuple vient de publier une enquête très importante sur les disparitions forcées au Pérou entre 1983 et 1996, qui va contribuer, sans doute, à faire connaître la vérité sur ce qui s’est passé au cours de ces funestes années de violence politique. L’enquête retient le chiffre de 4 022 personnes considérées comme toujours disparues au Pérou. Sur ce nombre, près de 60 % des cas sont attribués à l’armée péruvienne et 11 % à la police nationale. Les organisations (…)
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DIAL 2438
URUGUAY - Après avoir pris des mesures pour résoudre le problème des détenus disparus, le président Batlle fait d’étranges nominations 1er janvier 2001, mis en ligne par DialLe président Jorge Batlle s’est fait le porte-drapeau de la défense des droits de l’homme depuis son arrivée au pouvoir (cf. DIAL D 2392). Il a à son actif d’avoir permis au poète Juan Gelman de retrouver sa petite-fille disparue depuis 1976, ce que son prédécesseur, Julio Sanguinetti, avait toujours déclaré impossible. Il a également créé une commission pour la paix composée de personnes appartenant à divers secteurs politiques et sociaux du pays, qui dispose des moyens requis pour faire la (…)
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DIAL 2411
EL SALVADOR - Les retrouvailles, « c’est comme après un accouchement ». Magaly, enfant disparue pendant la guerre, retrouve sa famille biologique. Sa mère adoptive témoigne. 16 octobre 2000, mis en ligne par DialPendant la guerre civile qui a sévi en El Salvador de 1980 à 1992 et qui a fait quelque 80 000 morts, plusieurs centaines d’enfants ont disparu. En avril 2000, l’association Pro-Búsqueda avait enregistré 545 cas d’enfants disparus. Sur ce total, 170 jeunes avaient été localisés, et sur les 70 résidant à l’étranger, 37 avaient eu un contact avec leur famille d’origine par lettre ou téléphone. En 1999, l’association prit connaissance de 43 nouveaux cas d’enfants disparus, ce qui montre qu’il y (…)
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DIAL 2392
URUGUAY - Les détenus disparus en Uruguay. De quelle réconciliation parlons-nous ?Hugo Cores
1er juillet 2000, mis en ligne par DialLe sort des détenus disparus en Uruguay a fait récemment la une de la presse en raison de la campagne menée par le poète Juan Gelman pour retrouver sa petite-fille disparue depuis 1976. Grâce au nouveau président George Batlle qui a succédé à Julio María Sanguinetti en mars 2000, les retrouvailles furent rendues possibles. C’est durant la dictature militaire (1973-1984) que se sont produites des séquestrations-disparitions d’un nombre de personnes actuellement estimé à 140. Par référendum, (…)
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DIAL 2391
CHILI - Les détenus disparus au Chili. Texte de l’accord réalisé à la « table de dialogue » sur les droits humains 1er juillet 2000, mis en ligne par DialLe mardi 13 juin un accord a été signé - principalement entre le gouvernement et les forces armées - pour faciliter la recherche des restes des détenus disparus pendant la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990). Cet accord est le fruit du travail effectué au cours de la « Table de dialogue » lancée il y a 9 mois par le gouvernement précédent et que le président Lagos a fortement soutenu au cours des journées difficiles précédant la signature. C’est la première fois que les forces armées (…)
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DIAL 2356
ARGENTINE - Les mères de la place de mai - Un discours de la présidente du mouvementHebe de Bonafini
1er mars 2000, mis en ligne par DialLe 13 décembre 1999, Hebe de Bonafini, présidente des Mères de la place de Mai, a reçu des mains du directeur général de l’UNESCO, Koichiro Matsuura, le Prix 1999 de l’Éducation à la paix. Comme celui-ci l’a rappelé : « ce mouvement de lutte pour les droits de l’homme et la paix a commencé en 1977 lorsqu’un groupe de 14 femmes se réunit sur la place de Mai à Buenos Aires, devant le palais présidentiel, pour réclamer à la junte militaire au pouvoir des nouvelles de leurs fils disparus. » (…)