Accueil > Français > Dial, revue mensuelle en ligne > Archives > Années 2000-2009 > Année 2008 > Novembre 2008 > MEXIQUE - Mexico, 2 octobre 1968 : Nuit de Tlatelolco, mort du mouvement (…)

DIAL 3023

MEXIQUE - Mexico, 2 octobre 1968 : Nuit de Tlatelolco, mort du mouvement étudiant

Ernesto Páramo

samedi 1er novembre 2008, mis en ligne par Dial

Toutes les versions de cet article : [Español] [français]

Le 2 octobre 2008 marquait les quarante ans du massacre de Tlatelolco. À cette occasion, Dial reproduit cet article d’Ernesto Páramo publié et traduit sur le site de Tlaxcala. Nous renvoyons aussi à un autre texte, « Tlatelolco para universitarios », lu par l’écrivaine Elena Poniatowska lors de l’inauguration du Mémorial de 68 dans le Centre culturel universitaire Tlatelolco en octobre 2007. Il a été publié en espagnol par La Jornada, et partiellement traduit dans le numéro 894-895 du Courrier international daté du 20 décembre 2007.


Les faits de la nuit de Tlatelolco sont encore couverts, 40 ans plus tard, par une brume dense et froide qui occulte l’identité d’une multitude d’acteurs secondaires qui eurent des rôles d’importance dans cette tragédie. Les acteurs principaux qui prirent les décisions et qui eurent la responsabilité directe pour les événements qui conduisirent au massacre : le président de la République Gustavo Diaz Ordaz, le ministre de l’Intérieur Luis Echeverria Alvarez, le chef de l’État-major présidentiel le général Luis Gutierrez Oropeza, le commandant de l’opération militaire à Tlatelolco le général José Hernandez Toledo et le commandant du Bataillon Olimpia le colonel Ernesto Gutierrez Gomes Tagle, entre autres, avec ceux qui se consacrèrent à créer la confusion comme stratégie de désinformation dans les jours qui suivirent le massacre, sont demeurés hors de portée de la loi et de la justice.

Néanmoins le sang des jeunes et les larmes des adultes sont encore frais et pleins de douleur.

Les marches massives de plus de 700 ou 800.000 étudiants, travailleurs, mères au foyer et employés de bureau qui mirent plus de trois ou quatre heures pour atteindre le Zócalo à partir du Musée d’anthropologie sont encore présentes et fraîches dans la mémoire de ceux qui participèrent activement et de ceux qui formèrent des haies silencieuses le long du chemin pour les voir passer et leur donner leur appui.

Il est certain que le Conseil National de Grève ne fut pas dissous avant le 4 décembre dans un meeting à Zacatenco. Néanmoins il est aussi certain qu’après la nuit du 2 octobre et le massacre de Tlatelolco, avec des centaines d’étudiants et de spectateurs morts, des milliers incarcérés en prison et dans des camps militaires ou victimes de persécution de la part de l’État et de ses forces de répression, le mouvement étudiant cessa réellement d’exister. À l’exception de tentatives de protestations isolées durant la cérémonie inaugurale des XIXe Olympiades, qui furent rapidement et brutalement étouffées, le mouvement disparut pratiquement.

Il y a deux versions, apparemment contradictoires, des événements de la nuit du 2 octobre et celles-ci dépendent principalement du lieu où se trouvaient les observateurs, du temps durant lequel ils réalisèrent leurs rapports et de leur interprétation personnelle dans des circonstances de danger extrême.

Il y eut un meeting public qui avait été annoncé pour commencer à 17 heures sur la Place des Trois-Cultures, auquel assistaient une grande variété de gens : des pères de famille avec des petits enfants, des étudiants, des travailleurs, des ouvriers. Les orateurs exigeaient d’une voix agitée l’arrêt de la répression violente exercée par les différentes forces policières, quand rapidement se firent entendre des rafales de mitraillette sans qu’on sache exactement d’où elles venaient.

Les gens commencèrent à courir, cherchant à s’échapper dans une panique aveugle, ce qui fit beaucoup de blessés.

Durant ces moments de chaos, des francs-tireurs postés dans les bâtiments de l’Unité d’habitation de Tlatelolco commencèrent à tirer contre les unités de l’armée qui se trouvaient là. Il était 18 heures 10. La bataille se généralisa à coups de rafales de mitrailleuses interrompues par de longs moments de silence et après le silence, de nouvelles rafales.

La majorité des tirs contre l’armée se firent du bâtiment 16-septembre : l’armée répondit en utilisant 2 tanks qui firent feu avec leurs canons contre l’édifice. Cela produisit immédiatement un incendie et un nombre inconnu - mais sans doute très important - de victimes.

Très rapidement il y eut de nombreux appels téléphoniques à la Croix Rouge et à la Croix Verte pour qu’elles s’occupent des victimes et les transportent dans les cliniques et les hôpitaux pour leur apporter des soins médicaux. Les ambulances firent un nombre incalculable de transports des blessés durant toute la nuit.

A ce moment-là on peut observer une grande quantité de blessés mais aucun mort. La rumeur commence à circuler qu’il y a deux soldats morts.

Bien que la bataille s’étendît à toute l’unité d’habitation, on ne vit que deux camions brûlés à 19 heures 30.

Beaucoup de curieux qui se trouvaient sur le lieu des événements furent blessés par balles.

Comme nous l’avons déjà dit, il y a diverses versions des événements et de la manière dont la fusillade commença. A 19 heures 40 circulaient deux d’entre elles.

La première dit que 3 hélicoptères survolaient les lieux, quand l’un deux laissa soudain tomber une lumière verte, qui fut le signal pour que l’armée commence à attaquer.

La seconde dit qu’une patrouille policière passait face au bâtiment 16-septembre, quand elle fut attaquée par armes à feu et des témoins assurent que des membres de la police montée se mirent alors à tirer contre les habitants du bâtiment. Immédiatement après arriva l’armée avec ses tanks, ouvrant le feu avec ses canons et provoquant un incendie qui s’étendit rapidement.

Les orateurs firent un effort désespéré pour contrôler cette situation si violente, demandant aux participants qu’ils ne fassent rien qui provoquerait une réaction de l’armée ou de la police.

Un hélicoptère descendit vers la Place des Trois-Cultures où se tenait le meeting et laissa tomber une lumière verte. Immédiatement commença la fusillade et l’armée commença ses opérations. 19 heures 15 est le moment le plus féroce de la violence. La fusillade s’étendit depuis la rue Manuel Gonzalez au nord jusqu’à la rue Sol, ce qui inclut la totalité de l’Unité d’habitation de Tlatelolco.

Des groupes de grenadiers se voient partout, poursuivant les étudiants et tirant pour tuer avec leurs carabines.

A 19h15 une Volkswagen blanche, circulant à grande vitesse dans la rue Manuel Gonzalez, s’arrête quelques instants dans la Glorieta Peralvillo, tire plusieurs fois sur les soldats et s’enfuit.

A 19h45 au carrefour des rues San Juan de Letrán prolongée et Sol, une centaine d’étudiants tenaient un meeting et l’orateur les haranguait avec un mégaphone pour qu’ils restent unis sans avoir peur de la mort.

Subitement une camionnette blanche arriva sur les lieux et stationna, et tous les jeunes gens se dispersèrent vers le sud.

Au carrefour des rues Zarco et Nonoalco il y a un autobus de la ligne San Rafael-Aviacion détruit. À celui des rues Guerrero et Nonoalco il y en a un autre de la ligne Guerrero-San Lazaro qui est en flammes. A celui de Lerdo et Nonoalco il y a un autobus de la ligne Peralvillo-Tlanepantla qui est en ruine.

Près du bâtiment du ministère des Relations Extérieures on peut voir une femme portant une fille de trois ans, marchant quelques pas et s’évanouissant.

A 20h19 l’armée entre en masse sur la Place des Trois-Cultures avec diverses voitures légères de combat et un grand nombre de soldats. Au même moment environ une centaine d’étudiants sont conduits à San Juan de Letrán dans 18 transports militaires comme prisonniers.

Pendant plus de 30 ans le Gouvernement Fédéral a nié l’existence de détenus et de disparus dans le Camp Militaire N° 1, néanmoins des documents officiels du Parquet Général de la République et de la disparue Direction Fédérale de Sécurité sur la répression du 2 octobre 1968, contenus dans les Archives Générales de la Nation, démentent les versions qui ont prévalu pendant plus de trois décennies.

Après l’entrée de l’armée dans la Place des Trois-Cultures on pouvait voir une grande quantité de morts, certains entassés les uns sur les autres.

A 20h45 commença un incendie dans le bâtiment Chihuahua sur lequel l’armée concentra ses tirs, pensant que c’était là que se trouvaient les membres du Conseil National de Grève.

Quelqu’un dit qu’il y a 17 morts sur le parvis de l’église de Santiago.

L’armée a capturé et tient prisonniers 400 étudiants dans la partie arrière de l’immeuble des Relations Extérieures.

Des renforts de l’armée, des grenadiers et d’autres forces de police arrivent à l’Unité Nonoalco. Sur la Place des Trois-Cultures une ambulance militaire transporte deux jeunes filles. On ne sait pas si elles sont gravement blessées.

Entre les rues San Juan de Letrán et Tacuba on peut voir un tramway incendié. Entre les rues San Juan de Letran et 16 Septiembre un camion de voirie est en train de brûler.

Un témoin se souvient de l’arrivée de la Brigade Olimpia qui était composée d’agents spéciaux, dont beaucoup d’entre eux étaient si jeunes qu’on pouvait les confondre facilement avec les étudiants, et qui s’identifiaient par un gant blanc à la main gauche. Ces soldats entrèrent dans tous les appartements des immeubles pour chercher les étudiants, les armes ou des témoins des atrocités.

C’est une situation dantesque avec beaucoup de pères, de mères, de frères et d’autres parents à la recherche de leurs êtres chers. Ils vont d’un lieu à l’autre, interrogeant et cherchant à retrouver leurs parents. Ils sont effrayés quand ils apprennent que certains des immeubles ont été mitraillés par l’armée ou que les grenadiers tirent sur les étudiants dans le dos.

L’autre version du début du massacre dit que le meeting allait sur sa fin quand on vit passer un groupe de jeunes qui paraissaient des étudiants. Ils se dirigèrent vers le bâtiment Chihuahua, jusqu’au balcon qu’utilisaient les orateurs. Ce groupe faisait partie de la Brigade Olimpia, une unité spéciale de la police composée de soldats, de policiers et autres. Ils portaient un gant blanc à la main gauche pour s’identifier.

Ils entrèrent dans l’édifice et allèrent sur le balcon où se trouvaient les dirigeants du mouvement étudiant, essayant de les arrêter mais ceux-ci résistèrent, aussi les membres de la Brigade Olimpia commencèrent à tirer quand ils virent une lumière verte lancée d’un hélicoptère qui volait bas. Du bâtiment Chihuahua partit la fusillade dans tous les sens.

Dans la partie arrière de l’église de Tlatelolco il y a plus de mille étudiants détenus par l’armée.

Près d’un ascenseur du bâtiment Chihuahua se trouvent 60 étudiants en caleçons avec le visage contre le mur et les mains sur la nuque.

Aux alentours de minuit on peut voir environ 1200 personnes détenues dans la partie Est de l’église de Tlatelolco. Parmi elles, des étudiants, des pères et mères de familles, des ouvriers, des employés de bureau et même des enfants. De tous les côtés on voit des scènes déchirantes. On entend les cris désespérés d’angoisse et on voit les figures dans l’obscurité de ceux qui cherchent, souvent en vain, leurs parents qui ont disparu.

Divers francs-tireurs qui ont attaqué les forces de l’armée depuis les édifices de Tlatlelolco périrent ou furent gravement blessés. Deux d’entre eux sont identifiés comme membres de l’armée.

Comme toujours en Amérique latine quand il y a un désastre politique ou quelque tragédie sociale, la CIA se trouve cachée à proximité, dans quelque bureau ou dans le cas de Mexico, dans les bureaux des plus hauts dirigeants de la nation.

Selon des documents récemment déclassifiés par le gouvernement US, obtenus et examinés par Kata Doyle des Archives de Sécurité Nationale, la CIA lança un programme pour recruter de hauts fonctionnaires du gouvernement mexicain et eut dans Gustavo Diaz Ordaz et Luis Echeverria Alvarez deux agents de très grande valeur. Dans son livre sur Winston Scott, Our Man in Mexico (« Notre homme au Mexique »), Jefferson Morley analyse aussi ces documents et beaucoup d’autres.

Diaz Ordaz, Echeverria et Fernando Gutiérrez furent recrutés par Winston Scott qui fut chef de station à Mexico entre 1956 et 1969 dans le cadre d’un programme dénommé « Litempo », qui connut un succès si grand qu’on le considéra comme un modèle pour les autres stations de la CIA.

Néanmoins, le programme finit par absorber son créateur, indique Morley dans son compte-rendu, en signalant que les rapports sur le mouvement étudiant de 1968 reflétèrent seulement le point de vue que le gouvernement de Diaz Ordaz voulut présenter et que selon différents rapports (la CIA transmit pas moins de 15 versions distinctes et contradictoires sur les événements de Tlatelolco), le gouvernement du Mexique était en train de lutter contre une menace communiste d’origine étrangère.

Des sources proches de la présidence de Diaz Ordaz acceptèrent sans réserve à la fin de 1968 que personne n’avait la plus petite idée de comment résoudre les problèmes posés par le mouvement étudiant, sans mettre en péril le début des Jeux Olympiques et que Diaz Ordaz appelait par téléphone Scott si souvent, dans les moments les plus difficiles du conflit pour lui demander conseils et aide, que le chef de la station retourna aux USA pour couper la communication entre eux.

Le code Litempo est composé par le préfixe Li qui identifie les opérations au Mexique et Tempo, qui identifie le programme de relations entre la CIA et de « hauts fonctionnaires choisis » du Mexique.

Diaz Ordaz était Litempo 2, Echeverria était Litempo 8 et Gutiérrez Barrios Litempo 4.

Litempo 1 était Emilio Bolaños, un neveu de Diaz Ordaz qui fut peut-être la voie par laquelle ils entrèrent en contact avec le Président, quand il était ministre de l’Intérieur.

Le document dit que la CIA-Mexique informa le gouvernement des USA que le gouvernement mexicain rapportait que le mouvement étudiant était dirigé par des communistes et avait des influences étrangères [en provenance de l’ambassade soviétique] mais que les rapports étaient pour le moins exagérés.

Comme beaucoup de Mexicains, les fonctionnaires de l’ambassade US à Mexico n’étaient pas préparés à voir la force prise par le mouvement étudiant et la violence déclenchée par le gouvernement de Diaz Ordaz en réponse. Les rapports qui sortirent de l’ambassade étaient généralement confus durant la crise, peut-être parce que les fonctionnaires de la CIA avaient des relations beaucoup plus proches avec les politiques mexicains que les membres d’autres agences et étaient plus disposés à croire leur propagande politique. D’un côté l’ambassade avait une grande confiance dans la capacité du régime à garder le contrôle de la situation. De l’autre, les fonctionnaires US ne pensèrent jamais que les étudiants pourraient constituer un danger sérieux pour le gouvernement.

En réponse aux troubles étudiants de mai à Paris, Washington avait demandé à son ambassade de préparer une évaluation des mouvements étudiants mexicains mais celle-ci échoua à prédire l’ouragan qui se rapprochait. Le 14 juin, quelque 5 semaines avant la première confrontation entre les étudiants et les forces de sécurité, l’ambassade prédit en toute confiance qu’il était impossible qu’il se passe à Mexico quelque chose de comparable à ce qui s’était passé en France.

Il est aussi intéressant de relever que dans une caisse qui se trouve dans la galerie 2 des Archives Générales de la Nation, déposée dans le fonds Intérieur, il y a des télégrammes envoyés au Président de la Nation dans les jours qui suivirent le 2 octobre 1968 par des politiciens, des patrons et des leaders d’organisation affiliées au régime de tout le pays.

Au milieu de centaines de papiers s’en trouve un, daté de Buenos Aires le 23 octobre 1968. Le message est bref : « Nous vous prions de faire connaître notre adhésion au gouvernement du Mexique ». Ce message est destiné à Luis Echeverria et est signé par Jorge Luis Borges, Manuel Peyrou et Adolfo Bioy Casares. Des années plus tard, Borges confirma sans équivoque sa vocation et ses affinités fascistes quand il accepta des honneurs pour son œuvre littéraire rendus par des membres de la junte militaire pinochétiste au Chili.

La caisse des télégrammes est précédée par une autre qui contient les accords passés par Diaz Ordaz et Echeverria durant le mois d’octobre 1968, et un document qui n’a rien à voir avec ceux-ci. Cet écrit fut envoyé par Winston Scott, chef de la station de la CIA au Mexique, le 19 juillet 1965, avec une invitation à Fernando Gutierrez Barrios de sélectionner deux agents de l’Agence Fédérale de Sécurité pour qu’à partir du « 15 septembre » ils aillent aux USA pour « recevoir un entraînement d’une durée de quatre mois ».


Livres et documents

Jefferson Morley, Our Man in Mexico : Winston Scott and the Hidden History of the CIA, University Press of Kansas, 2008, 371 pages. ISBN-10 : 0700615717. ISBN-13 : 978-0700615711.

Kate Doyle, éditrice, « The Tlatelolco Massacre, U.S. Documents on Mexico and the Events of 1968 », dossier mis en ligne le 10 Oct. 2003.

Kate Doyle, « 68, El Desconcierto de Washington », Proceso n° 1406, 5 octobre 2003.

Julio Scherer García et Carlos Monsiváis, Los Patriotas – de Tlatelolco a la guerra sucia, México DF, Nuevo Siglo/Aguilar, 2004, 199 p.

Elena Poniatowska, La noche de Tlatelolco : Testimonios de historia oral, Biblioteca Era, 2003, 280 p. ISBN-13 : 978-9684114258.

Elena Poniatowska, Massacre in Mexico, traduction anglaise de Helen R. Lane, University of Missouri Press, 1992. ISBN-13 : 978-0826208170.

Paco Ignacio Taibo II ; 68, Siete Cuentos Editorial, 2004, 224 p. ISBN-13 : 978-1583226001.

Paco Ignacio Taibo II, 68, traduction anglaise de Donald Nicholson-Smith, Seven Stories Press, 2004, 224 p. ISBN-10 : 1583226087.

Paco Ignacio Taibo II, 68, traduction française de Sebastian Cortés et Pierre-Jean Cournet, éditions l’Échappée, 2008, 125 p. ISBN-10 : 2915830142. ISBN-13 : 978-2915830149.


 Dial – Diffusion d’information sur l’Amérique latine – D 3023.
 Traduction de Gérard Jugant, révisée par Fausto Giudice pour Tlaxcala. Texte revu par Dial.
 Source (espagnol et français) : Tlaxcala.

En cas de reproduction, mentionner au moins l’auteur, le traducteur, le relecteur, la source originale (Tlaxcala - http://www.tlaxcala.es/) et l’adresse internet de l’article (http://www.tlaxcala.es/detail_artis...).

Les opinions exprimées dans les articles et les commentaires sont de la seule responsabilité de leurs auteurs ou autrices. Elles ne reflètent pas nécessairement celles des rédactions de Dial ou Alterinfos. Tout commentaire injurieux ou insultant sera supprimé sans préavis. AlterInfos est un média pluriel, avec une sensibilité de gauche. Il cherche à se faire l’écho de projets et de luttes émancipatrices. Les commentaires dont la perspective semble aller dans le sens contraire de cet objectif ne seront pas publiés ici, mais ils trouveront sûrement un autre espace pour le faire sur la toile.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

>> PDF Formato PDF